Lors du CSE du 11 juin, cette coalition a sciemment choisi de nous exclure de certaines commissions, mais cela ne nous empêchera pas de vous tenir informé et de vous défendre.
Suite aux premières réunion du CSE, une coalition CFDT-CFTC s’est exprimée et leur a permis de prendre tous les postes au bureaux, tous les postes dans les commissions logement, économique ainsi que formation et égalité professionnelle.
Nous avons cependant 5 élus dans la commission SSCT (ex CHSCT) qui seront présents pour défendre vos droits.
Nos RP (représentants du personnel) seront également présents pour vous représenter et vous assister dans les entretiens préalables.
Lors du CSE du 16 juin, ces représentants des salariés ont choisi de voter favorablement pour soutenir Modis dans la mise en activité partielle jusqu’en septembre.
Notre avis sur ce sujet:
Un constat:
– des méthodes qui, jusqu’à présent, manque de transparence: les salariés sont tenus de la mise en chômage partiel rendant impossible la pose de congé
– le logiciel de pose des absences trop souvent en maintenance
– une communication des managers parcellaire voire larvaire
– le chômage partiel qui devient une norme alors qu’une société de service de la convention syntec prévoit la prise en compte de la fin de mission dans le cout journalier
– un recourt au télétravail sans compensation
– des informations économiques contradictoires
– des fins de missions toutes attribuées à l’épidémie, même quand c’est décorrélé
– une demande de réactivité comme pour de l’intermission pour les salariés au chomage à 100% et refus de la direction de prendre en compte le temps passé pour répondre aux mails ou assister à des réunions d’information alors que « les salariés ont obligation d’être disponible dans la demi journée pour répondre aux offres de missions des commerciaux » des dires de la direction
Ce qui n’empêche pas modis de faire pression sur les salariés et de faire des licenciements.
Nous demandons:
– La rectification de tous les points négatifs de ce constats
– le respect des conditions de mise en chômage partiel (non mise en activité partielle au moins 1 demi journée par mois, pour assurer la consultation des mails et l’information des salariés): le chômage partiel n’est pas de l’intermission
– le maintien du salaire par l’intermédiaire du CICE capitalisé sur le fond de roulement
– de réelles formations avec le dispositif FNE formation, et pas simplement des formations « open classroom » qui ne permettent pas de développer toutes les compétences des salariés
– un accompagnement pour aider les salariés dans des secteurs d’activité en difficulté à maintenir une employabilité
– un ordre de mission pour tous les salariés qu’ils soient en intermission ou non.
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